L'huître Portugaise
L'huître Portugaise est une espèce tellement différente qu'elle a même été incluse, avec d'autres espèces, dans un nouveau genre. Lamarck trouvait qu'elle n'appartenait pas au genre des Huîtres et l’appellée Gryphoea angulata, ayant comme justification l'existence d'un bec ou un crochet dans l'arrière du ligament dans la vanne supérieur.
Les caractéristiques des mollusques qui suffisent pour distinguer entre l'Ostrea (ou Gryphoea) angulata de l'Ostrea edulis sont, par ailleurs du crochet ou bec, leur formation extérieur, la moindre quantité de plis dans la vanne supérieur et aussi la coloration violette des impressions dans les muscles adductifs.
Malgré l'amélioration de notre huître par une culture dans les baies françaises ou anglaises, il y a toujours ces deux marques violettes à l'intérieur qui permettent de l’identifier et qui ont souvent été la cause d’un prix de vente inférieur.
La culture offshore, avec une moindre quantité de charge organique et de risques de diffusion ou concentration de polluants, peut éviter ce type de marques. L'Ostrea edulis, qui est plus appréciée en France, a les impressions musculaires blanches bien comme le reste de l'intérieur des vannes, sa forme générale est différent et le numéro de plis est majeur.
En plus de ces différences importantes en relation à la coquille, l'Ostrea angulata est différente du fait que l'Ostrea edulis est hermaphrodite et ses oeufs sont fécondés et développés dans le corps de la mère, et l'huître du Tage est unisexe, ayant des similitudes avec l'Ostrea virginiaine de l'Amérique du Nord, et ses oeufs sont fécondés hors du corps du mollusque, dans l'eau.
Les caractéristiques des mollusques qui suffisent pour distinguer entre l'Ostrea (ou Gryphoea) angulata de l'Ostrea edulis sont, par ailleurs du crochet ou bec, leur formation extérieur, la moindre quantité de plis dans la vanne supérieur et aussi la coloration violette des impressions dans les muscles adductifs.
Malgré l'amélioration de notre huître par une culture dans les baies françaises ou anglaises, il y a toujours ces deux marques violettes à l'intérieur qui permettent de l’identifier et qui ont souvent été la cause d’un prix de vente inférieur.
La culture offshore, avec une moindre quantité de charge organique et de risques de diffusion ou concentration de polluants, peut éviter ce type de marques. L'Ostrea edulis, qui est plus appréciée en France, a les impressions musculaires blanches bien comme le reste de l'intérieur des vannes, sa forme générale est différent et le numéro de plis est majeur.
En plus de ces différences importantes en relation à la coquille, l'Ostrea angulata est différente du fait que l'Ostrea edulis est hermaphrodite et ses oeufs sont fécondés et développés dans le corps de la mère, et l'huître du Tage est unisexe, ayant des similitudes avec l'Ostrea virginiaine de l'Amérique du Nord, et ses oeufs sont fécondés hors du corps du mollusque, dans l'eau.
Angulata
Depuis la fin de 1866, commence la dévastation des huîtriers du Tage par les marchants français. Cette situation s'est prolongée pendant deux ans jusqu'a au moment oú une concession gouvernementale les en a empêchés et ainsi, ils ont acheminés par navires, vers Arcachon et d'autres parcs, 12 millions de huîtres environ. l'Ostrea angulata n'existe pas seulement dans le Tage. Les huîtres qui ont été introduites à Arcachon depuis vingt ans ne venaient pas seulement du Tage, mais aussi de l’estuaire du Sado (au Portugal aussi), de la baie de la Corunha et d'Angleterre.
En 1882, l'importation continue à croitre, pour arriver à près de 30 millions, sans compter les 12 ou 15 millions de semences, attachés aux coquilles des mères, qui étaient aussi emportées.
Ces faits se trouvent dans plusieurs rapports faits au gouvernement français qui démontrent que les huîtres Portugaises offraient aux producteurs “au moins le double des avantages des huîtres françaises”
Par ailleurs, c'est le Tage qui a permis la réhabilitation des huîtriers de Arcachon et d’Angleterre, attaqués par diverses pathologies qui menaçaient leur destruction. Les cultivateurs étrangers, principalement les français, ont utilisé les bancs naturels du Tage et lá ont obtenu, “le mollusque précieux” avec lequel ils ont repeuplé les parcs huîtriers en péril donnant simultanément du temps aux espèces pour se reproduire sans risquer l'extinction.
En 1882, l'importation continue à croitre, pour arriver à près de 30 millions, sans compter les 12 ou 15 millions de semences, attachés aux coquilles des mères, qui étaient aussi emportées.
Ces faits se trouvent dans plusieurs rapports faits au gouvernement français qui démontrent que les huîtres Portugaises offraient aux producteurs “au moins le double des avantages des huîtres françaises”
Par ailleurs, c'est le Tage qui a permis la réhabilitation des huîtriers de Arcachon et d’Angleterre, attaqués par diverses pathologies qui menaçaient leur destruction. Les cultivateurs étrangers, principalement les français, ont utilisé les bancs naturels du Tage et lá ont obtenu, “le mollusque précieux” avec lequel ils ont repeuplé les parcs huîtriers en péril donnant simultanément du temps aux espèces pour se reproduire sans risquer l'extinction.
Qualité Supériur
La coquille de l'huître Portugaise est supérieure, aussi bien comme engrais - dû à la grande quantité de phosphate de chaux qu'elle contient, comme pour l'industrie cosmétique à cause de sa composition unique en ions et d'autres éléments.
Le principal défaut principal que les gastronomes pointaient du doigt, à cette huître Portugaise, était le fait qu'elle était maigre, ayant même une saveur amère et désagréable. Cela est peut-être dû à la pollution qui existait dans les estuaires du Tage et du Sado, mais aussi aux mauvaises techniques de la culture d'autrefois, ce qui explique pourquoi il existe peu l'habitude d’apprécier les huîtres crues au Portugal, comparée avec le reste du monde. Pourtant, aujourd'hui ces questions ont été surpassées avec l'évolution des techniques, le traitement d'effluents et la législation environnementale pour permettre les activités industrielles et agricoles qui tiennent en compte les nécessités de l’environnement.
À cause de ces raisons ci-dessus, la mauvaise qualité de l'huître Portugaise était immédiatement reconnues par les caractéristiques du intrinsèques de ce mollusque, et faisait qu'elle n'était pas exportées directement pour consommation immédiate. Les français, parce qu'ils l'appréciaient, l'importaient dans leurs parcs naturels huîtriers, qui avaient á cette date, des conditions excellentes, et les amélioraient pendant quelques mois pour réussir à avoir une meilleure saveur meilleur et les vendre à un prix plus deux ou trois fois plus élevé.
Durant ce temps où la production industrielle de nos huîtres n'était pas suffisamment développée, les français, comme on l’a vu, ont bénèficier de cette situation, mais après la situation s'est inversée. Avec l'intensification productive des huîtres japonaises en
France, la pression de l’offre/demande a poussé à développer des nouvelles techniques de production avec la manipulation génétique de cette espèce d'huître. Cela veut dire que, a travers la création de souches triplöides stériles, les taux de croissance ont beaucoup augmentés, mais aussi que de conséquences incontrôlables et inconnues commencent à noyer la force naturel de l'espèce, et donc que depuis 2008 les pathologies ont provoqué des énormes taux de mortalité dans la production des huîtres en France.
Le principal défaut principal que les gastronomes pointaient du doigt, à cette huître Portugaise, était le fait qu'elle était maigre, ayant même une saveur amère et désagréable. Cela est peut-être dû à la pollution qui existait dans les estuaires du Tage et du Sado, mais aussi aux mauvaises techniques de la culture d'autrefois, ce qui explique pourquoi il existe peu l'habitude d’apprécier les huîtres crues au Portugal, comparée avec le reste du monde. Pourtant, aujourd'hui ces questions ont été surpassées avec l'évolution des techniques, le traitement d'effluents et la législation environnementale pour permettre les activités industrielles et agricoles qui tiennent en compte les nécessités de l’environnement.
À cause de ces raisons ci-dessus, la mauvaise qualité de l'huître Portugaise était immédiatement reconnues par les caractéristiques du intrinsèques de ce mollusque, et faisait qu'elle n'était pas exportées directement pour consommation immédiate. Les français, parce qu'ils l'appréciaient, l'importaient dans leurs parcs naturels huîtriers, qui avaient á cette date, des conditions excellentes, et les amélioraient pendant quelques mois pour réussir à avoir une meilleure saveur meilleur et les vendre à un prix plus deux ou trois fois plus élevé.
Durant ce temps où la production industrielle de nos huîtres n'était pas suffisamment développée, les français, comme on l’a vu, ont bénèficier de cette situation, mais après la situation s'est inversée. Avec l'intensification productive des huîtres japonaises en
France, la pression de l’offre/demande a poussé à développer des nouvelles techniques de production avec la manipulation génétique de cette espèce d'huître. Cela veut dire que, a travers la création de souches triplöides stériles, les taux de croissance ont beaucoup augmentés, mais aussi que de conséquences incontrôlables et inconnues commencent à noyer la force naturel de l'espèce, et donc que depuis 2008 les pathologies ont provoqué des énormes taux de mortalité dans la production des huîtres en France.